Description
Vie active : 15-16 jours�
Classe de drogue : Stéroïde anabolisant/androgénique (pour injection)�
Dose moyenne : Hommes 250-1000 mg/semaine�
Acné : Oui�
Rétention d'eau : Oui, élevée�
Hypertension artérielle : Oui�
Toxique pour le foie : Faible, sauf en méga-doses�
Aromatisation :Oui, élevée�
Conversion DHT : Oui, élevée�
Diminution de la fonction HPTA : Oui, grave�
L'énanthate de testostérone est un stéroïde injectable à base d'huile, conçu pour libérer lentement la testostérone du site d'injection (dépôt). Une fois administrée, les concentrations sériques de cette hormone augmenteront pendant plusieurs jours et resteront nettement élevées pendant environ deux semaines. Cela peut en fait prendre trois semaines pour que l'action de ce médicament diminue complètement. À des fins médicales, il s'agit de la testostérone la plus largement prescrite, utilisée régulièrement pour traiter les cas d'hypogonadisme et d'autres troubles liés à une carence en androgènes. Étant donné que les patients ne s'auto-administrent généralement pas de telles injections, un stéroïde à action prolongée comme celui-ci est un élément très bienvenu. La thérapie est nettement plus confortable par rapport à un ester comme le propionate, qui nécessite un schéma posologique beaucoup plus fréquent.
La testostérone est une hormone puissante avec des effets secondaires particulièrement importants. Une grande partie provient du fait que la testostérone présente une forte tendance à se convertir en œstrogène. Les effets secondaires associés peuvent donc devenir un problème au cours d'un cycle. Pour commencer, la rétention d'eau peut devenir assez perceptible. Cela peut produire une nette perte de définition musculaire, car les fluides sous-cutanés commencent à se former. Le stockage de l'excès de graisse corporelle peut réduire davantage la visibilité des caractéristiques musculaires, un autre problème courant avec les stéroïdes aromatisants. Le niveau excessif d'oestrogène pendant/après votre cycle a également le potentiel de mener à la gynécomastie. L'ajout d'un médicament auxiliaire comme Nolvadex et/ou Proviron est donc conseillé aux personnes ayant une sensibilité connue à cet effet secondaire.Les anti-aromatases Arimidex, Femara ou Aromasin sont cependant de bien meilleurs choix. On pense que l'utilisation d'un anti-œstrogène peut légèrement réduire l'effet anabolisant de la plupart des cycles d'androgènes (on pense souvent que le poids de l'œstrogène et de l'eau facilite la force et le gain musculaire), on peut donc vouloir voir si de tels médicaments sont réellement nécessaires avant s'engageant à utiliser. Un petit gonflement sous le mamelon est un signe que la gynécomastie se développe. Si cela se développe davantage en un gonflement prononcé, une douleur et la croissance de petites bosses sous les mamelons, une certaine forme d'action doit être prise immédiatement pour le traiter (évidemment arrêter le médicament ou ajouter des auxiliaires comme Nolvadex).
Étant un produit à base de testostérone, tous les effets secondaires androgènes standard sont également à prévoir. La peau grasse, l'acné, l'agressivité, la pilosité faciale/corporelle et la calvitie masculine sont toutes possibles. Les personnes plus âgées ou plus sensibles pourraient donc choisir d'éviter les produits à base de testostérone et se tourner vers des anabolisants plus doux comme DecaDurabolin ou Equipoise qui produisent moins d'effets secondaires. D'autres peuvent choisir d'ajouter le médicament Proscar/Propecia, qui minimisera la conversion de la testostérone en DHT (dihydrotestostérone). Les taux sanguins de ce métabolite étant considérablement réduits, l'impact des effets secondaires associés devrait également être réduit. Cependant, avec des médicaments gonflants puissants, l'utilisateur s'attendra généralement à subir des effets secondaires importants et les tolérera souvent tout juste. La plupart des athlètes ne trouvent vraiment pas les testostérones si inconfortables (surtout face au résultat final), comme on peut le voir avec la grande popularité de ces composés.
Bien que cet ester particulier soit actif pendant une durée beaucoup plus longue, la plupart préfèrent l'injecter sur une base hebdomadaire ou bihebdomadaire afin de maintenir les taux sanguins stables. La posologie habituelle serait de l'ordre de 250 mg à 750 mg par semaine. Ce niveau est tout à fait suffisant et devrait procurer à l'utilisateur un gain rapide de force et de poids corporel.Au-dessus de ce niveau, les effets secondaires œstrogéniques deviendront sans aucun doute beaucoup plus prononcés, dépassant peut-être tout nouveau muscle gagné. Ceux qui recherchent un volume plus important seraient mieux servis en ajoutant un oral comme Anadrol ou Dianabol, des combinaisons qui s'avèrent très efficaces. Si l'on souhaite utiliser une testostérone tout en conservant un niveau de qualité et de définition au physique, un anabolisant injectable comme DecaDurabolin ou Equipoise peut s'avérer être un meilleur choix. Ici, nous pouvons utiliser une dose plus faible d'énanthate, afin de gagner une quantité acceptable de muscle tout en minimisant l'accumulation d'œstrogènes.
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Avec la bonne administration de médicaments auxiliaires, Nolva/Clomid et HCG, pendant la récupération post-cycle, une grande partie de la nouvelle masse musculaire peut être conservée longtemps après l'arrêt du cycle.
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